Ou comment rester encore un peu en vacances...
lundi 30 mai 2011
mercredi 25 mai 2011
Chacun fait son nid...
Surprise! En regardant une toile d'araignée accrochée à ma sculpture sur la terrasse...
Je m'aperçois que l'araignée a fait son nid dans le trou du chignon...
Je la laisse bien tranquille dans son petit nid afin qu'elle mange toutes les petites mouchettes qui se présenteront. Cela fait plaisir de voir que la sculpture a une utilité, certes inattendue.
dimanche 22 mai 2011
Fermeture de la parenthèse
Un voyage, des vacances signifient toujours pour moi une parenthèse.
C'est le seul moment de l'année où j'arrive à me déconnecter de la peinture, de la sculpture et de ses obsessions. Le seul moment où j'arrive à ne plus y penser.
Quand je peins et surtout quand je sculpte, je travaille d'une façon un peu obsessionnelle et douloureuse pour les mains et le dos, jusqu'à la fin de la pièce, pensant que lorsqu'elle sera terminée je pourrai être libérée et faire d'autres choses plus reposantes. Il n'en est rien, quand j'ai fini, j'essaie de retarder le moment où j'en recommencerai une autre, je tergiverse, je nettoie l'atelier, je range, je tourne autour du bac de terre et je me sens mal comme un drogué en manque. Et puis, je craque. Je replonge avec délice dans un nouveau projet. Au début, je me promets d'y aller doucement, calmement, de prendre le temps et puis l'atelier se transforme vite en chantier et moi en travailleuse de force, en bagnard de l'île du diable!
Alors maintenant à mon retour, j'essaie de prolonger cet état de grâce des vacances, de profiter encore un peu de la légèreté, de laisser vagabonder mon esprit dans les souvenirs délicieux.
Je sors mes trésors qui en rejoindront d'autres et finiront peut-être dans une sculpture un jour.
C'est le seul moment de l'année où j'arrive à me déconnecter de la peinture, de la sculpture et de ses obsessions. Le seul moment où j'arrive à ne plus y penser.
Quand je peins et surtout quand je sculpte, je travaille d'une façon un peu obsessionnelle et douloureuse pour les mains et le dos, jusqu'à la fin de la pièce, pensant que lorsqu'elle sera terminée je pourrai être libérée et faire d'autres choses plus reposantes. Il n'en est rien, quand j'ai fini, j'essaie de retarder le moment où j'en recommencerai une autre, je tergiverse, je nettoie l'atelier, je range, je tourne autour du bac de terre et je me sens mal comme un drogué en manque. Et puis, je craque. Je replonge avec délice dans un nouveau projet. Au début, je me promets d'y aller doucement, calmement, de prendre le temps et puis l'atelier se transforme vite en chantier et moi en travailleuse de force, en bagnard de l'île du diable!
Alors maintenant à mon retour, j'essaie de prolonger cet état de grâce des vacances, de profiter encore un peu de la légèreté, de laisser vagabonder mon esprit dans les souvenirs délicieux.
Je sors mes trésors qui en rejoindront d'autres et finiront peut-être dans une sculpture un jour.
Pierres ponces, pierres de lave, bouteilles remplies de lave et de cendre de l'Etna, de sable de la plage...
Bois flottés et fleurs immortelles...
Coquillages...
Au jardin, tout a poussé en folie et en liberté! Pelouse et parterre confondus.
Et le plaisir de retrouver mes petits chachats!
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samedi 21 mai 2011
Sicile gourmande
Comment parler de la Sicile sans faire une page gastronomie?
La cuisine fait partie du patrimoine d'un pays et la goûter c'est comprendre la culture de ce pays.
La cuisine sicilienne est assez différente du reste de l'Italie. On y trouve des recettes typiques, très spéciales et délicieuses.
Évidemment du poisson et des fruits de mer.
Allez, encore deux plats pour vous faire saliver...
La cuisine fait partie du patrimoine d'un pays et la goûter c'est comprendre la culture de ce pays.
La cuisine sicilienne est assez différente du reste de l'Italie. On y trouve des recettes typiques, très spéciales et délicieuses.
Évidemment du poisson et des fruits de mer.
La soupe de poisson
Les arancini sont à manger sur le pouce à tous les coins de rue.
(Boulettes de riz, pois frais, tomate et mozzarella)
Les gnocchis aux câpres frais
Les farfale aux amandes et fenouil sauvage
Fenouil que l'on trouve le long de tous les chemins de campagne
Les pâtes alla Norma (en hommage au compositeur catanais Bellini)
Spaghetti alla Siracusana
(Anchois, pignons de pin, câpres, tomates séchées, raisins secs, coriandre)
Un délice!
Les ravioli aux pistaches, sublimes!
Allez, encore deux plats pour vous faire saliver...
Pas en reste pour les desserts, les cannoli alla ricota
Et ce gâteau au lait d'amandes
Évidemment, avec un espresso!
Les arbres, les fruits, les parfums aussi...
Les amandiers
Les fleurs d'acanthe dont les feuilles caractéristiques ont servi de modèle aux chapiteaux des monuments
Les orangers dans les rues
Les oranges sucrées et juteuses
Les citronniers dont certains ont la particularité de porter les 4 saisons sur le même arbre
Le pittosporum au parfum pénétrant qui embaume toute la Sicile
Les ficus géants aux lianes impressionnantes
Les vignobles de Marsala
Le câprier aux fleurs magnifiques dont les fruits arômatisent toute la cuisine sicilienne
Sicile en mai
Comment ne pas évoquer un des aspects les plus charmants au mois de mai, les fleurs.
Un régal pour les yeux, les fleurs explosent de couleurs dans chaque paysage au printemps sicilien.
C'est la meilleure saison avant les brûlures et la sécheresse de l'été.
Ce soir, il ne reste déjà plus que des fleurs fanées entre les pages de mon carnet de voyage...
Un régal pour les yeux, les fleurs explosent de couleurs dans chaque paysage au printemps sicilien.
C'est la meilleure saison avant les brûlures et la sécheresse de l'été.
Ce soir, il ne reste déjà plus que des fleurs fanées entre les pages de mon carnet de voyage...