Ce peuplier du jardin était devenu si grand qu'il menaçait les maisons à chaque tempête.
Il a donc fallu le "démonter" (c'est le terme) mais avant, il a aussi fallu couper un bouleau qui gênait son abattage.
C'était l'abattage le plus délicat d'une série depuis que la tempête du 14 juillet 2010 avait commencé le travail
Il était l'arbre le plus haut du village...
Il berçait nos saisons...
Nous pensions vivre dans un bois et à présent, on s'aperçoit qu'on a des voisins...
C'est toujours triste la mot d'un arbre ... Pourtant, quand il le faut ...
RépondreSupprimerC'est bien de lui avoir rendu un dernier haut mage ...
Mince, la poésie a disparu... Et bien un nouvel être végétal n'attendra que l'automne prochain et la Sainte-Catherine pour "prendre racines"...
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