Depuis toujours, j'avais un ocarina (dont je ne savais pas jouer) parmi mes instruments de musique.
J'avais toujours cru qu'il était en bois jusqu'au jour où je l'ai malencontreusement fait tomber et il s'est brisé.
Je me suis alors aperçue qu'il était en terre cuite.
Il n'en fallait pas plus pour déclencher un déclic sculpture!
Sa chevelure de sauvageonne
Tressée en couronne, emprisonne
La folle blondeur d'un champs de blé
Dans la musique d'un été
Où l'ocarina résonne.
Tu vois, quand tu ne vas pas à elle, l'inspiration vient à toi.
RépondreSupprimerJ'adore la natte enroulée autour de sa tête...
RépondreSupprimerComme une princesse italienne de la renaissance!
Bonne soirée
Elle est très belle !
RépondreSupprimerSes sourcils quelque peu froncés montrent bien que tu l'as contrariée en cassant ce bel instrument !
RépondreSupprimerContrariée peut-être à moins que ce ne soit la concentration.
RépondreSupprimerBonsoir Christiana.
RépondreSupprimerTes "dames" ont l'air vivantes tellement elles sont belles!
Moi aussi donc mon " bébé" va naître dans les semaines qui suivent, d'où ma difficulté à passer chez les amis...
Je ne l'ai pas encore annoncé officiellement!
J'en suis même la première étonnée encore!
Amitiés.
Pureté des traits, jusqu'au dessin des sourcils dont l'arc parfait répond à la légère contraction du front.
RépondreSupprimerIl me semble percevoir une certaine souffrance dans ce visage. Le morceau que la joueuse d'ocarina interprète paraît l'entraîner dans ses souvenirs douloureux, un monde qui n'appartient qu'à elle et à la musique...
Je viens voir tes oeuvres, curieuse de celle qui écrit chez Dourvach avec beaucoup de sensibilité. Je comprends mieux maintenant.
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