Y’a toujours une guerre
Quelque part sur la terre
Qui se laisse oublier
Sans cesser de tuer.
Toujours un dictateur
Qui sème la terreur
Dans un endroit du monde
Où la révolte gronde.
Toujours une trahison
Un mensonge, un affront
Déchirures et pleurs
De l’amour qui se meurt.
Promesses disparues
Et rêveries déçues
Perdues avec le jour
En un triste séjour.
Le pinceau inutile
Arabesques futiles
Rage au cœur du tableau
Lacéré, en lambeaux!
C'est de toi?
RépondreSupprimerBravo!
Lamentations...
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