samedi 31 mai 2014
lundi 26 mai 2014
dimanche 25 mai 2014
Elections
C'est un superbe dimanche pour aller voter...
Pour nous les Belges:
On votait, ce dimanche à la fois
* pour élire les membres belges du Parlement européen;
* pour élire les membres du Parlement fédéral tant à la Chambre des Représentants qu'au Sénat
* pour élire les membres des Parlements des Communautés et des Régions, c'est-à-dire ceux du Parlement de la Région Bruxelles-Capitale, du Parlement wallon, du Parlement flamand mais aussi ceux du Parlement de la Communauté germanophone.
Evidemment, selon l'endroit où il réside, chaque électeur belge ne votait pas pour toutes ces institutions.
Le bébé élu du jour!
jeudi 22 mai 2014
Vincent Delerm au Cirque Royal de bruxelles.
Il y donnait la version scénique de ses “Amants parallèles”, mis en scène par Aurélien Bory.
Le dernier spectacle de Delerm nous a immergé dans un grand bain de mélancolie et de tendresse. Plus de dix ans après ses débuts, il a signé là une belle réalisation scénique. Entre la narration à tiroir et l'évocation poétique.
Même seul en scène, Delerm n'a jamais donné de concerts : il monte des spectacles (usant de mimiques, d'enregistrements vocaux, de vidéos...). Avec, toujours, ce qu'il faut de surprises, d'humour et de théâtralité pour inventer un monde.
Comme dans un film ou un livre, Delerm y retrace le parcours amoureux d'un couple. Le feu de la rencontre, la douceur de la découverte, le poids de l'habitude.
Delerm joue sobrement du piano à queue tandis qu'un autre piano, droit, joue seul. Animé par une présence fantomatique au fort pouvoir poétique. Au fond du plateau, des mots, des silhouettes, des visages apparaissent furtivement sur un écran translucide.
Pour la seconde moitié de la soirée Delerm a repris ses vieilles chansons pour le plaisir de ses fans de la première heure (dont je suis) ravis de réentendre Fanny Ardant et moi, Le Monologue Shakespearien, La Natation synchronisée, Les Filles de 1973...
A la fin du spectacle, alors que presque tout le monde était déjà sorti, je me suis retrouvée nez à nez avec ses parents, son père, l'écrivain Philippe Delerm, sympathique, à qui j'ai serré la main.
(si j'avais su qu'il serait là, j'aurais emporté un de ses livres pour le faire dédicacer...)
Le dernier spectacle de Delerm nous a immergé dans un grand bain de mélancolie et de tendresse. Plus de dix ans après ses débuts, il a signé là une belle réalisation scénique. Entre la narration à tiroir et l'évocation poétique.
Même seul en scène, Delerm n'a jamais donné de concerts : il monte des spectacles (usant de mimiques, d'enregistrements vocaux, de vidéos...). Avec, toujours, ce qu'il faut de surprises, d'humour et de théâtralité pour inventer un monde.
Comme dans un film ou un livre, Delerm y retrace le parcours amoureux d'un couple. Le feu de la rencontre, la douceur de la découverte, le poids de l'habitude.
Delerm joue sobrement du piano à queue tandis qu'un autre piano, droit, joue seul. Animé par une présence fantomatique au fort pouvoir poétique. Au fond du plateau, des mots, des silhouettes, des visages apparaissent furtivement sur un écran translucide.
Pour la seconde moitié de la soirée Delerm a repris ses vieilles chansons pour le plaisir de ses fans de la première heure (dont je suis) ravis de réentendre Fanny Ardant et moi, Le Monologue Shakespearien, La Natation synchronisée, Les Filles de 1973...
A la fin du spectacle, alors que presque tout le monde était déjà sorti, je me suis retrouvée nez à nez avec ses parents, son père, l'écrivain Philippe Delerm, sympathique, à qui j'ai serré la main.
(si j'avais su qu'il serait là, j'aurais emporté un de ses livres pour le faire dédicacer...)
mardi 20 mai 2014
samedi 17 mai 2014
Après les "Saints de Glace"
Quel plaisir de retrouver le jardin ensoleillé après ces semaines de pluie et de froid.
La nature explose comme pour rattraper le temps perdu.
Les fleurs de mai remplacent tulipes et lilas fanés
Partout les insectes butinent
Herbes folles et lierre prennent possession des sculptures
La clématite se glisse sous la jupe de la sauteuse camouflant le système de fixage
Bientôt elle courra sur un tapis de fleurs mauves
Les myosotis disent "Ne m'oublie pas"
La nature explose comme pour rattraper le temps perdu.
Les fleurs de mai remplacent tulipes et lilas fanés
Partout les insectes butinent
Herbes folles et lierre prennent possession des sculptures
La clématite se glisse sous la jupe de la sauteuse camouflant le système de fixage
Bientôt elle courra sur un tapis de fleurs mauves
Les myosotis disent "Ne m'oublie pas"
vendredi 16 mai 2014
mardi 13 mai 2014
Il était temps...
... que je retrouve le plaisir de la terre.
Deux mois déjà que je n'y touchais plus.
Ma terre d'Impruneta m'attendait dans son bac, immuable, égale à elle-même, c'est-à-dire parfaite!
En une journée j'ai bien avancé cette nouvelle sculpture.
A présent, j'ai mal au dos alors demain, repos pour elle et moi.
Deux mois déjà que je n'y touchais plus.
Ma terre d'Impruneta m'attendait dans son bac, immuable, égale à elle-même, c'est-à-dire parfaite!
En une journée j'ai bien avancé cette nouvelle sculpture.
A présent, j'ai mal au dos alors demain, repos pour elle et moi.