Ah bon? Je ne connais pas le cours du franc suisse. Ils ont racheté les droits pour un nombre de tirages limité... Et puis, j'ai déjà une splendide montre suisse de mon amoureux :-)
Bonjour Christiana, Qu'il est beau ton jardin ! J'ai quand même hâte que le mien le devienne, un peu de patience encore....! Bonne continuation dans tes projets et bisous. Annie
Félicitations ! Je suis tombé sur votre dernier livre un peu par hasard et me suis délecté de cette histoire de passion partagée par deux jeunes filles que seul le temps sépare. Deux sœurs qui parlent le même langage : celui de la musique et du violoncelle. Cette sonate… comme vous la décrivez bien : largo, allegro… J’ai vibré en écoutant les notes souples, agiles, ardentes, sortant de l’archet de Lionella afin que la petite orpheline revive à nouveau. A la fin du livre, l’émotion m’enserra lorsque la sonate d’Ada raisonna dans l’église. Belle image : le reflet d’une gondole glissant sur le reflet argenté de la demi-lune profilée comme une médaille coupée. Une réussite. Cela a dû plaire à Richard votre premier lecteur. Merci.
Oui je suis bien le Alain qui écrit régulièrement chez Richard, comme lui le fait toujours chez moi. Cela fait bientôt dix ans que l’on se suit sans faiblir et avec un plaisir partagé. Il me semble que nous nous sommes déjà croisés, il y a longtemps, peu souvent, sur nos blogs. C’est dans votre livre que j’ai vu à la fin que Richard était votre premier lecteur et correcteur, et je vous renouvelle tout le plaisir que m’a donné ce livre excellent qui devrait rencontrer le succès. Ces deux jeunes filles m’ont touché différemment : Lionella pour sa passion communicative et Ada pour la qualité et le courage de ces enfants orphelins devenant femmes, immergées dans la musique sous l’autorité du maestro, et, parfois, de par leurs qualités, arrivant à composer elle-même. Cette histoire est bien construite et tient en haleine dans un perpétuel aller-retour entre Seraing et Venise, avec les siècles entre les deux. Le carnaval, les gondoles, les masques, Saint-Marc, les ponts, on se croirait parfois dans un tableau de Canaletto. L’écriture est belle et j’ai appris, moi qui ne suis pas trop mélomane, sur la musique et le violoncelle que vous décrivez savamment. Je sais que vous êtes passionnées de peinture et vos toiles, toujours hommes, femmes, ont un côté mystérieux à la Vermeer. J’avais vu que vous aviez déjà écrit un livre sur la peinture italienne dont vous ne parlez plus… Bon dimanche.
Merci beaucoup, ça fait plaisir. Oui, le livre a du succès et je suis très contente. Le précédent parlait de sculpture et de peinture à Florence mais il était maladroit (je suis autodidacte et apprend sur le tas) et c'était un tirage numérique très confidentiel. Je le réécrirai probablement avec plus de soin et de rigueur car j'aimais bien l'histoire. Bon dimanche à vous.
Pas tristes, les Suisses !!!
RépondreSupprimer11,30 € plus cher que dans la même revue chez nous en Belgique !!!
Ils vont t'offrir une splendide nouvelle montre, je présume ...
Ah bon? Je ne connais pas le cours du franc suisse. Ils ont racheté les droits pour un nombre de tirages limité... Et puis, j'ai déjà une splendide montre suisse de mon amoureux :-)
SupprimerSuperbe jardin et bravo pour l'écriture d'un nouveau roman! Bisous Fan
RépondreSupprimerBonjour superbe ton jardin il doit être agréable d'y flâner bonne journée
RépondreSupprimerBonjour Christiana,
RépondreSupprimerQu'il est beau ton jardin ! J'ai quand même hâte que le mien le devienne, un peu de patience encore....!
Bonne continuation dans tes projets et bisous.
Annie
Voilà tu as le virus !!! C'est ton troisième roman ! Bravo et bonne écriture !
RépondreSupprimerFélicitations !
RépondreSupprimerJe suis tombé sur votre dernier livre un peu par hasard et me suis délecté de cette histoire de passion partagée par deux jeunes filles que seul le temps sépare. Deux sœurs qui parlent le même langage : celui de la musique et du violoncelle.
Cette sonate… comme vous la décrivez bien : largo, allegro… J’ai vibré en écoutant les notes souples, agiles, ardentes, sortant de l’archet de Lionella afin que la petite orpheline revive à nouveau. A la fin du livre, l’émotion m’enserra lorsque la sonate d’Ada raisonna dans l’église.
Belle image : le reflet d’une gondole glissant sur le reflet argenté de la demi-lune profilée comme une médaille coupée.
Une réussite. Cela a dû plaire à Richard votre premier lecteur.
Merci.
Merci pour votre gentil commentaire. Seriez-vous le "Alain" du blog de Richard? Oui, Richard m'a bien aidée dans mes premiers balbutiements.
SupprimerOui je suis bien le Alain qui écrit régulièrement chez Richard, comme lui le fait toujours chez moi. Cela fait bientôt dix ans que l’on se suit sans faiblir et avec un plaisir partagé.
RépondreSupprimerIl me semble que nous nous sommes déjà croisés, il y a longtemps, peu souvent, sur nos blogs.
C’est dans votre livre que j’ai vu à la fin que Richard était votre premier lecteur et correcteur, et je vous renouvelle tout le plaisir que m’a donné ce livre excellent qui devrait rencontrer le succès.
Ces deux jeunes filles m’ont touché différemment : Lionella pour sa passion communicative et Ada pour la qualité et le courage de ces enfants orphelins devenant femmes, immergées dans la musique sous l’autorité du maestro, et, parfois, de par leurs qualités, arrivant à composer elle-même. Cette histoire est bien construite et tient en haleine dans un perpétuel aller-retour entre Seraing et Venise, avec les siècles entre les deux. Le carnaval, les gondoles, les masques, Saint-Marc, les ponts, on se croirait parfois dans un tableau de Canaletto. L’écriture est belle et j’ai appris, moi qui ne suis pas trop mélomane, sur la musique et le violoncelle que vous décrivez savamment.
Je sais que vous êtes passionnées de peinture et vos toiles, toujours hommes, femmes, ont un côté mystérieux à la Vermeer.
J’avais vu que vous aviez déjà écrit un livre sur la peinture italienne dont vous ne parlez plus…
Bon dimanche.
Merci beaucoup, ça fait plaisir. Oui, le livre a du succès et je suis très contente.
SupprimerLe précédent parlait de sculpture et de peinture à Florence mais il était maladroit (je suis autodidacte et apprend sur le tas) et c'était un tirage numérique très confidentiel. Je le réécrirai probablement avec plus de soin et de rigueur car j'aimais bien l'histoire.
Bon dimanche à vous.