Où s’enfuit le sourire
Qui éclairait ses yeux
Où s’échappent les rires
Après le couvre-feu
Où sont les mots sucrés
Chantant à mes oreilles
Où fondent les baisers
Au pays des merveilles
Où s’en vont les chansons
Qui naissaient sur ses lèvres
Où couve la passion
Qui lui donnait la fièvre
Où fini l’idéal
Qui animait sa vie
En poussières d’étoiles
Quand la pièce est finie.
25 mai 2017
La pièce n'est jamais finie, Christiana.
RépondreSupprimerUne page d'un grand livre se tourne, certes, mais une autre, que tu vas continuer à écrire, n'attend que toi pour, comme chez les Égyptiens, que vive son nom, son souvenir ...
Ne comprenant pas vraiment la noirceur de ce poème et du paysage qui l'accompagne, je viens d'aller sur ta page FB et ai découvert ton message du 25 mai.
Accepte qu'avec retard je t'adresse mes condoléances les plus amicales.
Richard
Merci beaucoup Richard.
SupprimerBonjour Christiana, un poème bien triste, mais comme je ne sais pas quel est l'être cher que tu as perdus je te présente mes sincères condoléances.
RépondreSupprimerMerci Cigalette, c'est ma maman.
SupprimerBonjour Christiana,
RépondreSupprimerJ'ai tant écrit sur mon papa, (tu en as le recueil) que je comprends : " Je cherche encor où dort ton âme..." etc... C'est long la guérison.
Ton poème est très beau.
A nouveau toutes mes très sincères condoléances.
Je t'embrasse.
Annie