Je retrouve ton blog avec plaisir ! Un rapide passage avant de partir, sans oublier de te dire: Merci de tes nombreux passages sur mes blogs ! Bonnes vacances à toi, je reviens dans un petit mois- bises - Cath
Je me souviens encor des cigales tenaces, Plus le soleil brûlait, plus elles chantaient fort ! Est-il donc revenu ce temps du moindre effort Qui nous gardait cloîtrés à l'ombre des terrasses ?
Enfants, l'on s'amusait à braver les menaces Des parents soucieux d'assurer le confort De tous leurs galopins trouvant un réconfort Dans le plaisir gratuit de leur mille grimaces !
Faisant fi des conseils, on ôtait nos chapeaux, Nouveaux conquistadors, nous hissions des drapeaux En haut d'une pinède aux effluves craquantes.
Notre essaim vagabond butinait chaque fleur Pour faire des bouquets de rires jusqu'aux pleurs Quand après les goûters naissaient quelques bacchantes !
Belle opportunité Pour gaspiller cette eau qui pleurait des fontaines, Oublier les sermons et les croquemitaines !
Si chaud était l'été Que nos jambes prenaient de ces teintes châtaines Tels les bois calcinés des montagnes lointaines…
Oh Annie! Merci pour ce magnifique sonnet qui semble démontrer que les grosses chaleurs ne datent pas d'aujourd'hui... Avec ce parfum de nostalgie d'enfance. Merci, bisous.
Bonjour Christiana, J'en ai oublié de t'applaudir pour ton poème et ce tableau que j'ai déjà admiré de mes propres yeux... ! Pardonne-moi, je suis étourdie en ce moment tu sais le pourquoi... Gros bisous et un excellent week-end. Annie
Bonjour Christiana un superbe poème, et une superbe peinture, magnifique, merci bonne journée
RépondreSupprimerJe retrouve ton blog avec plaisir !
RépondreSupprimerUn rapide passage avant de partir, sans oublier de te dire: Merci de tes nombreux passages sur mes blogs !
Bonnes vacances à toi, je reviens dans un petit mois- bises - Cath
Merci pour ce beau poème et très beau dessin.
RépondreSupprimerÀ bientôt!
Été provençal
RépondreSupprimerJe me souviens encor des cigales tenaces,
Plus le soleil brûlait, plus elles chantaient fort !
Est-il donc revenu ce temps du moindre effort
Qui nous gardait cloîtrés à l'ombre des terrasses ?
Enfants, l'on s'amusait à braver les menaces
Des parents soucieux d'assurer le confort
De tous leurs galopins trouvant un réconfort
Dans le plaisir gratuit de leur mille grimaces !
Faisant fi des conseils, on ôtait nos chapeaux,
Nouveaux conquistadors, nous hissions des drapeaux
En haut d'une pinède aux effluves craquantes.
Notre essaim vagabond butinait chaque fleur
Pour faire des bouquets de rires jusqu'aux pleurs
Quand après les goûters naissaient quelques bacchantes !
Belle opportunité
Pour gaspiller cette eau qui pleurait des fontaines,
Oublier les sermons et les croquemitaines !
Si chaud était l'été
Que nos jambes prenaient de ces teintes châtaines
Tels les bois calcinés des montagnes lointaines…
Annie
Oh Annie! Merci pour ce magnifique sonnet qui semble démontrer que les grosses chaleurs ne datent pas d'aujourd'hui...
SupprimerAvec ce parfum de nostalgie d'enfance.
Merci, bisous.
Bonjour Christiana,
SupprimerJ'en ai oublié de t'applaudir pour ton poème et ce tableau que j'ai déjà admiré de mes propres yeux... ! Pardonne-moi, je suis étourdie en ce moment tu sais le pourquoi...
Gros bisous et un excellent week-end.
Annie
Ta réponse en sonnet était bien plus que des applaudissements! Bon week-end à toi aussi, biz.
Supprimerun poème très poignant
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