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🧣Cachemire Rouge 🧣
De Christiana Moreau
Cette ouvrage est en poche et broché
Coup de cœur ❤️
Ce livre est mon plus gros coup de cœur.
Il m’a redonné goût à la lecture.
Cette histoire m’a beaucoup touchée, elle est passionnante, pleine de rebondissement et représente une réalité qui peut déranger.
Après l’avoir commencé, je ne pensais plus qu’à une chose, continuer. Je l’ai littéralement dévoré tellement il m’a plu.
Cette histoire poignante de XiaoLi m’a fait voyager et traverser de nombreuses émotions, j’ai eu l’impression de réellement vivre l’histoire de l’héroïne et d’être avec elle en permanence. Son voyage péri eux entre la Mongolie et la Chine par la transsibérienne m’a donné envie d’y aller et de voir les paysages que l’autrice a su transmettre dans ce roman.
J’ai été surprise et ai découvert énormément de chose tout au long de ce livre, que ce soit sur le voyage, la culture et même le textile en lui même. La Chine et la Mongolie n’était pas la liste des destinations que je voulais faire mais ce livre m’a rempli la tête de belles images et j’espère un jour faire la transsibérienne pour voir de mes propres yeux ces paysages que je me suis tant imaginée.
Moi qui adore coudre, je me suis laissée guidée dans la découverte de ce monde du textile qui n’est pas toujours très jolie à voir. On y découvre des conditions de vue plus que douteuse qui nous fait remettre en question notre consommation.
Est-ce qu’une passion vous a déjà amené à découvrir des livres ?
J´adore que mon roman Cachemir rojo soit dans cette jolie librairie espagnole 😍
@lalibreriadedonaleo
@maximohuerta
@grijalbo_es
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𝗟𝗮 𝗱𝗮𝗺𝗲 𝗱'𝗮𝗿𝗴𝗶𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗿𝗶𝘀𝘁𝗶𝗮𝗻𝗮 𝗠𝗼𝗿𝗲𝗮𝘂, éditions Préludes
🅼🅾🅽 🅰🆅🅸🆂 : Christiana Moreau nous raconte avec brio l'histoire de plusieurs femmes à travers l'histoire de l'art et de l'immigration.
Sabrina retrouve dans la maison de sa grand-mère une statue en argile d'un buste de femme magnifique. Grâce à son expérience de restauratrice dans un prestigieux musée des beaux-arts, elle perçoit tout de suite qu'une grande histoire entoure ce buste. Démarre alors une quête qui la mène sur les traces de sa grand-mère Angela, de l'artiste Costanza qui a réalisé ce buste et de la grande-dame qui a prêté son visage pour que l'artiste exerce son talent, "La sans pareille".
Nous allons découvrir l'histoire d'Angela, la grand-mère de Sabrina qui a quitté sa chère Italie, après la seconde guerre mondiale, pour accompagner son mari qui faisait partie de ces immigrés échangés contre des sacs de charbon pour un travail de mineur en Belgique. Nous allons vivre aux côtés de Costanza Marsiatto à Florence, qui à l'époque du Quattrocento en Italie où il était punissable pour les femmes de s'habiller en homme, se travesti pour réaliser son rêve et permettre à son talent de sculptrice de s'épanouir. Celle-ci va croiser le chemin de Sandro Botticelli, notamment, dont Simonetta Vespucci, surnommée "La sans pareille", est le modèle favori.
Dans ce magnifique livre, Christiana Moreau va nous emmener dans les palais florentins de la Renaissance, dans l'atelier de Botticelli, dans les mines de charbon en Wallonie mais aussi dans la douce et lumineuse Toscane.
C'est le 2e livre que je lis de cette autrice et c'est à chaque fois un ravissement. Sa plume est douce, riche et précieuse et ses récits révèlent un grand travail de recherche sur les thèmes abordés. "La dame d'argile" en plus d'être une histoire envoutante qui nous fait voyager à travers l'histoire de l'art et l'Italie, nous en apprend beaucoup sur l'époque de Quattrocento (XVe siècle qui marque le début de la Renaissance), sur la sculpture mais aussi sur la vague d'immigration italienne dans la Belgique d'après-guerre. Ce fût une lecture très agréable et instructive que je vous conseille.
#Repost @whatthefoxcommunication
📚 Découvrez " Aux vents déraisonnables ", le nouveau roman de @christianamoreau, chez @empajeditions
🗓 Date de sortie : 28 février 2025
Extrait:
✍️ « Maria se présenta au conseil de révision munie de sa lettre de convocation. Elle avait le cœur en berne et semblait indifférente à ce qui pouvait lui arriver. Sa valise à la main, elle attendait son tour parmi une file de jeunes filles de dix-huit à vingt-cinq ans, plus ou moins consentantes ou réquisitionnées. Il n’y avait que les mariées qui échappaient à la convocation. Hélas, songeait-elle avec amertume, François n’avait pas cru bon de l’épouser pour lui éviter cette épreuve. Certaines d’entre elles, opportunistes, espéraient prouver leur germanisation et obtenir un poste de cheftaine dans le RAD qui leur épargnerait une affectation dans les usines d’armement. Un poste de cheftaine était très enviable, l’équivalent du grade de capitaine dans la Wehrmacht. Maria s’en fichait. »
#Litterature #ChristianaMoreau #Empaj #HautesFagnes #WTFox 🦊
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