Le pinceau guide ma pensée
Dans un grand mouvement futile
Je peins sans suite sur le papier
Des taches et des taches inutiles
Dans l’eau, les nuages colorés
Évoquent ma tristesse épanchée
Aujourd’hui, que peuvent encore dire
Ces taches qui ne sont que regrets
Qui firent rire quand elles font pleurer
Si ce n’est le vent du couperet
Claquant qui les a fait sécher
Cette peinture peut-elle suffire?
L'artiste a besoin du blues pour créer. Réussir tout, c'est la meilleure façon d'entrer dans la déprime. Les doutes sont importants.
RépondreSupprimerClaude.
Il fera beau demain...
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