samedi 27 février 2016

Les gladiateurs - Héros du Colisée


 Jusqu'au 3 avril 2016, le monde des gladiateurs vient au Musée Gallo-romain de Tongres.
 Avec des pièces maîtresses du monde entier et notamment une collaboration unique avec le Colisée de Rome.



L’arène. Une concentration extrême, un pur désir de mort. Chaque coup peut être fatal. Chaque combat leur dernier. Entrez dans leur peau…


 A quoi ressemblait la vie d’un gladiateur ?


 Comment vivait-on avec l’idée que chaque jour pouvait être le dernier ?


 Mais aussi quelle sensation procuraient les acclamations de 50 000 spectateurs dans l’arène ? L’adulation des plus belles femmes de Rome ?

 L’exposition 'Les gladiateurs - Héros du Colisée' offre un regard plus authentique que jamais sur la vie, les peurs, l’euphorie des gladiateurs.




Un univers barbare ? Pas pour les Romains. Les sanglants combats incarnaient les succès militaires qui avaient fait la grandeur de leur empire. Les gladiateurs étaient leurs héros!



 Cette exposition vous fait découvrir les moindres recoins du Colisée : des tribunes à l’arène en passant par les catacombes.


Les armes et les instruments chirurgicaux servant à soigner et recoudre les blessures.



Vespasien, empereur romain de 69 à 79.
Je n'ai ni le temps, ni l'intention de vous faire un cours d'histoire, mais pour l'anecdote, on se souviendra de l'origine de ce proverbe: « l'argent n'a pas d'odeur » puisque Vespasien recourt à de véritables innovations dans le domaine fiscal en créant une taxe sur la collecte d'urine qui était à l'époque, le seul agent fixant pour les teintures.

Mais revenons à nos gladiateurs...


... ou plutôt gladiatrices, et oui, il y avait même des femmes! Peu nombreuses, il est vrai!




Des pièces maîtresses du monde entier









Fin d'après-midi sur la place de la cathédrale...



Sous le regard d'Ambiorix.

10 commentaires:

  1. Dommage que tu n'aies pas l'intention de nous faire cours : plusieurs des pièces que tu nous montres eussent mérité que l'on en sache un peu plus à leur sujet !
    Il ne me reste plus que cinq semaines pour me rendre à Tongres !

    Tu écris "urine qui était à l'époque, le seul agent fixant pour les teintures" : sais-tu qu'au XIXème siècle encore, des hommes gagnaient quelques sous en proposant en rue à des passants de se soulager dans le seau qu'ils dissimulaient sous leur grand manteau et en revendant cette urine aux usines textiles verviétoises ?

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    1. Et sais-tu qu'à Venise, au XVIIIème il s'appelait smerdariol? Mais oui, tu as dû le lire 😊
      Quand au cours d'histoire, je n'ai vraiment pas le temps.

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    2. Et sais-tu qu'à Venise, au XVIIIème il s'appelait smerdariol? Mais oui, tu as dû le lire 😊
      Quand au cours d'histoire, je n'ai vraiment pas le temps.

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  2. Nul besoin de me poser deux fois la même question, Christiana : malgré mon grand-âge, je ne suis pas encore complètement pris dans les rets de ce cher Alois !!
    Blague à part : non, j'ignorais ce terme, tout autant d'ailleurs que les dames, à Venise ou ailleurs, pussent également bénéficier de semblables services de rues.

    Dans notre bonne vieille "Cité de la laine", si je me souviens bien des documents que, très jeune prof d'histoire, j'avais jadis dépouillés à ce sujet, ce n'était que l'urine mâle qui était ainsi récoltée dans les rues au profit des usines textiles ...

    Ceci posé, en tapant "smerdariol" dans Google, j'ai appris des choses nouvelles : ma journée commence donc sous de bons augures. Merci à toi ...

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    1. Désolée pour les deux questions mais c'est mon portable qui a pris le contrôle de ma manœuvre, si pas de mon cerveau :-( ça viendra un jour...

      Quant au smerdariol, j'en ai écrit une page complète dans mon roman que tu as eu la corvée de corriger... Alors Alois?

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  3. Bonsoir chère Christiana,
    Oh j'ai cru qu'il s'agissait de ceux du Pu du Fou où Fanny était actrice mais elle dans le rôle de danseuse et cascadeuse aux grand théâtre des Mousquetaires.
    Si un jour vous allez à la Cinescénie ( pas loin de chez nous ) elle vous fera visiter les coulisses !
    Ceci était une parenthèse... Rien à voir avec cette belle visite dont je te remercie !
    Gros bisous.
    Annie

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  4. Bravo les vénitiens qui laissaient propre le lagon (ce n'est pas comme en 2016) J'ai un faible pour le valeureux Ambiorix!! quel bel homme hihi!! Pour l'histoire des gladiateurs, étant donné que je réside à Nîmes, je connais un peu leur histoire!! il y a une photo d'un sujet sculpté bronze avec des clochettes en dessous de lui et il n'y a pas son nom!!c'est dommage, il m'intrigue!! Bisous Fan

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    1. C'était "La vuvuzela" de l'époque. Faire du bruit dans les gradins pour soutenir son gladiateur préféré. Modèle inspiré des sonnettes phalliques de Pompei.

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  5. Oui, je veux penser à la vuvuzela mais l'animal représenté fixé loin de la bouche????? J'y vois un symbole de puissance et c'est plutôt les clochettes agitées qui stimulaient le combattant!! Bizarre, mais bon!! Bisous Fan

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    1. L'animal est un lion que devait combattre le gladiateur

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