Guerre
Y’a toujours une guerre
Quelque part sur la terre
Qui se laisse oublier
Sans cesser de tuer.
Toujours un dictateur
Qui sème la terreur
Dans un endroit du monde
Où la révolte gronde.
Toujours une trahison
Un mensonge, un affront
Déchirures et pleurs
De l’amour qui se meurt.
Promesses disparues
Rêveries déçues
Perdues avec le jour
En un triste séjour.
Le pinceau inutile
Arabesques futiles
Rage au cœur du tableau
Lacéré, en lambeaux!Ch.Moreau (2003)
L'acrylique est-elle de toi?
RépondreSupprimerJ'aperçois à peine la signature sur la guerre du Golfe...
Guerre devrait être banni du vocabulaire, comme pas mal d'autres mots!
Je me suis mis à penser et narrer ce poème façon Grand Corps Malade en slam en quelque sorte, dans ma tête, il y a une très belle résonance.
Belle soirée Marraine
Toutes les parts négatives de certains êtres que l'ont ne devrait plus nommer humain se trouvent dans les faits et les effets de la guerre. Toujours affreux et inutiles...
RépondreSupprimerNe pas penser, chère Christiane, que l'art est "impuissant" face à la connerie et la sauvagerie de ce monde d'injustices... ton monde est aussi "fort" qu'un autre, au fond... et bien mieux, ton monde à toi est harmonieux... ta peinture des visages de femmes et d'enfants là-haut est une merveille... Chaque regard si (terriblement) expressif... Quant à celle de ton âme de feu, tout en bas, je t'ai déjà laissé plus tôt mon sentiment... Un pur chef d'oeuvre pour moi... (j'aimerais réaliser une peinture de mon âme multiforme, un jour...)
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