Réchauffement climatique
Le soleil d’avril facétieux
Me contraint à plisser les yeux
Sur les lilas déjà fanés.
Le mois de mai point incrédule
Sous une étrange canicule
Ses charmes désormais étiolés.
La terre safrane déshydratée
S’épuise, suffoque asphyxiée
Sous les rayons incandescents.
Au loin les arbres se consument
Arabesques obscures qui fument
Dans l’embrasement rouge sang.
Je doute, allongée au soleil
Rien n’a changé dans mon sommeil
Les oiseaux chantent, c’était un rêve
La brise chaude et printanière
Court sur ma peau, primesautière
Dans ce mois d’avril qui s’achève.
Le soleil d’avril facétieux
Me contraint à plisser les yeux
Sur les lilas déjà fanés.
Le mois de mai point incrédule
Sous une étrange canicule
Ses charmes désormais étiolés.
La terre safrane déshydratée
S’épuise, suffoque asphyxiée
Sous les rayons incandescents.
Au loin les arbres se consument
Arabesques obscures qui fument
Dans l’embrasement rouge sang.
Je doute, allongée au soleil
Rien n’a changé dans mon sommeil
Les oiseaux chantent, c’était un rêve
La brise chaude et printanière
Court sur ma peau, primesautière
Dans ce mois d’avril qui s’achève.
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