Hier nous avons recueilli un bébé pie (déjà gros mais qui ne vole pas encore) tombé du nid. La mère criait pour éloigner les 3 chats qui rôdaient autour de lui mais n'osaient approcher sous les cris stridents. Nous l'avons mis dans une cage en hauteur à l'abri des chats espérant qu'elle vienne le nourrir à travers les barreaux mais elle ne l'a pas fait.
Nous avons alors rentré la cage pour la nuit et aujourd'hui, après conseils d'un centre de revalidation des oiseaux, nous donnons un peu de pâtée pour chat toutes les 3 heures.Au deuxième repas, il était déjà moins stressé et ouvrait le bec en criant, sans doute de faim.
J'espère qu'il va grossir et pouvoir voler bientôt.
comme c'est curieux, le hasard!
RépondreSupprimertu recueilles un oiseau...un des miens s'en va...
Ah enchantée petit bébé pie de faire ta connaissance, je peut t'assurer que tu est tombé en de bonnes mains avec Christiane.
RépondreSupprimerCoucou Christiane, en effet il n'est plus très petit ce bébé, si tu continue de le nourrir comme çà, il prendra vite son envol.
J'espère que tu n'a pas eu trops de dégats avec les orages d' hier soir, car j'ai vu au journal que la région Liègeoise avait souffert!
a bientôt
Je pense que tu es condamnée à être la maman jusqu'à ce qu'il s'envole, car le fait d'avoir touché son bébé avec tes mains a fait que la mère ne veut plus s'occuper de lui.
RépondreSupprimerUn nouveau challenge pour toi Christiana! :-)
merci Christiana,
RépondreSupprimerc'est très gentil à vous.
Bonne chance avec la petite pie :)
Domi
Oui, mais surtout elle va s'attacher à vous qui allez être "ses parents" (tu verras...) ; tu la laisseras s'envoler, certes, mais elle reviendra te voir... ON avait eu cette géniale expérience quand on était gamins... un bébé Pie rescapé en haut d'un peuplier... On l'a nourri comme vous faites... et au final, la Pie squattait le balcon de notre hachélême... on était ravis...
RépondreSupprimerBises... et bon courage !!! (rires). Relis le superbe premier roman (poétique et animiste) "Barnabo des montagnes" de Dino Buzzati... il y a l'histoire de la corneille qui personnifie notre nostalgie de la Nature sauvage...