mercredi 19 août 2009

Cent fois sur le métier remets ton ouvrage...

...Car c'est en forgeant qu'on devient forgeron


Ce visage que je trouvais si étrange...Peut-être à cause de son regard un peu vide et halluciné...

Je lui ai baissé les paupières et il me semble plus doux, plus rêveur...

Et puis ainsi elle regarde ses pieds...
Normal ils seront dans l'eau...

Il faut dire que je ne me tracasse plus guère...



J'ai déjà un pied en vacances!



Je décompte les jours, j'aspire à ce bon temps...


Quoi qu'en ce moment, c'est pas mal...Farniente à l'ombre des arbres, déjeuner sur la terrasse et théâtre le soir.

LE PROPRE DE L'HOMME



De et avec Jacques VialaMise en scène Eric De Staercke



Sa dernière heure de cours est arrivée. 50 minutes pour tout donner à ses élèves : la création du monde, les sciences, la parole… Mais 50 minutes, c’est trop court pour résumer l’histoire de l’humanité. Alors il ne peut leur expliquer que le propre de l’homme. C’est-à-dire le rire, selon Rabelais. Mais nous savons aujourd’hui que les grands singes, nos proches parents, rient eux aussi…



Portrait d’un professeur réfractaire, militant, incorruptible, ex-délinquant, ex-cancre, dont le rôle est de transmettre aux générations futures « les armes d’instruction massives ». Hommage à ceux qui enseignent « ce que parler veut dire », la pièce de Jacques Viala rappelle que les mots servent surtout à exprimer des idées, des sentiments, à convaincre, à séduire…

2 commentaires:

  1. oui , c'est mieux! j'attends aussi quelques jours de vacances en septembre...nous-as-tu dit vers où tes pérégrinations vont t'emmener?

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  2. Un faux air... oui... attends, je regarde encore... Ah oui, pas de doute.
    Comment vas-tu l'appeler?
    Moi, je verrais bien... Carla! :-)

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